Yannick, un ami artisan de mon cocu

Yannick était, lui aussi, un ami très proche de mon mari…

Je ne craque habituellement pas pour les petits blondinets mais… je devais bien admettre qu’il avait un sex appeal naturel assez bouleversant et, a de nombreuses reprises lorsqu’il venait prendre l’apéro à la maison, je me surprenait à l’imaginer entièrement nu, contre ma peau.

Le teint halé toute l’année (le nautisme ça aide), j’aimais admirer sa silhouette fine et élégante, sportive mais sans artifice, et me délectais de la vision de son « paquet » épais qui remplissait ses shorts moulants. A priori, dame nature avait été généreuse avec ce très beau garçon.

Nous étions à cette époque en travaux dans notre appartement et Yannick venait souvent nous prêter main forte pour sa rénovation. Enjoué, sexy et charmeur, j’avais capté à plusieurs reprises son regard sur mes seins et mes fesses tandis que je déambulais sur le chantier dans des tenues légères.

Je devais hélas repousser mes envies fugaces, consciente que je ne pouvait pas aussi librement disposer de tous les amis de mon Amour de mari.

Un soir pourtant, alors que nous mettions tous les trois un terme aux peintures du salon, mon mari proposait à son ami de rester dormir sur place compte tenue de l’heure tardive. La chambre d’ami était déjà prête et n’attendait que lui.

C’était la première fois que je me trouvais dans la situation d’héberger chez nous un homme qui ne me laissait pas indifférente sans pourtant que je ne puisse oser déclarer mon attrait pour lui à mon mari. Yann risquait de prendre très mal la chose (j’ai compris bien plus tard qu’au contraire, Yann était très a l’aise avec le fait que je puisse profiter de quelqu’uns de ses amis proches comme amants).

Tandis que je me préparais dans la salle de bain a gagner notre lit improvisé dans la chambre principale, je croisais Yannick à demi nu qui, sans aucune gêne particulière, entrait dans la salle de bain pour me demander du dentifrice. Sa poitrine dorée et délicieusement parée d’une toison fine de poils blond, son odeur naturelle et la naissance de ses fesses bombées me firent divaguer mais je résistais.

Nous échangeâmes enfin une bise tendres qui me permit de respirer encore son odeur sensuelle et sentir la douceur manifeste de sa peau.

Le male sexy disparaissait enfin dans la chambre du fond et, avant qu’il ne ferme sa porte, ôta la serviette qui entourait ses reins et me laissait subjuguée, admirer un engin absolument sublime ! Ma nuit allait être très compliqué avec un tel mâle aussi proche de moi mais pourtant intouchable.